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"Dons de mémoire" : collecte d'archives privées sur la Grande Guerre
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Madame Gallois a fait don à l'Historial de la Grande Guerre de Péronne de deux douilles d'obus sculptées par sun ancêtre, Eloi Drobecq. Ces deux objets ont été photographiés par les Archives départementales de la Somme et mis en ligne.
Ces douilles d'obus de 75 sculptées ont été retrouvées dans le grenier de la maison des grands-parents de la Madame Gallois, sise rue de la Vierge à Sains-en-Amiénois. Le prénom "Andrée" est gravé à la base de ces deux douilles. Il s'agit d'Andrée Drobecq. Ces obus ont probablement été travaillés par son père, Eloi Drobecq, mobilisé en 1914 et affecté dans un régiment d'artillerie.
Andrée Drobecq est née à Sains-en-amiénois le 27 décembre 1900. Elle est la fille d'Eloi Drobecq et de Rosa Becquerelle.
Eloi Drobecq est né à Vers le 1er décembre 1874. Orphelin, il est sous la tutelle de Philippe Drobecq. Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale, il arrive au corps le 3 août 1914. Affecté au 29e régiment d'artillerie, il passe au 88e régiment d'artillerie lourde le 28 février 1917 et au 1er régiment d'artillerie à pied le 1er janvier 1918. Eloi Drobecq est décédé à Sains-en-Amiénois le 19 décembre 1953.
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Biographie ou Histoire
Andrée Drobecq est née à Sains-en-amiénois le 27 décembre 1900. Elle est la fille d'Eloi Drobecq et de Rosa Becquerelle.
Eloi Drobecq est né à Vers le 1er décembre 1874. Orphelin, il est sous la tutelle de Philippe Drobecq. Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale, il arrive au corps le 3 août 1914. Affecté au 29e régiment d'artillerie, il passe au 88e régiment d'artillerie lourde le 28 février 1917 et au 1er régiment d'artillerie à pied le 1er janvier 1918. Eloi Drobecq est décédé à Sains-en-Amiénois le 19 décembre 1953.
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Ces douilles d'obus de 75 sculptées ont été retrouvées dans le grenier de la maison des grands-parents de la Madame Gallois, sise rue de la Vierge à Sains-en-Amiénois. Le prénom "Andrée" est gravé à la base de ces deux douilles. Il s'agit d'Andrée Drobecq. Ces obus ont probablement été travaillés par son père, Eloi Drobecq, mobilisé en 1914 et affecté dans un régiment d'artillerie.
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