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Le nom du soldat qui a réalisé cet album photographique n'est pas connu. Il était médecin militaire.Cet album est constitué de 108 photographies en grande partie légendées et datées. Ces photographies concernent principalement les départements de la Marne, du Pas-de-Calais et de la Somme.Les principales photographies sont les suivantes :- Epernay, décembre 1914, un groupe de médecins de l'hôpital d'évacuation : Burbet, Chamba, Vigne, Bosc, Curtils, Métras- Epernay, décembre 1914, un groupe à la gare : Lemaître, Couffon, Vialle, Destot, Escallon- Epernay, décembre 1914, un groupe à la gare : Lemaître, Couffon, Bosc, Destot, Escallon- Epernay, janvier 1915, la salle Jeanne d'Arc, service du docteur Caillon à l'hôpital d'évacuation- Epernay, janvier 1915, hôpital d'évacuation salle Jeanne d'Arc : infirmiers Guers et Méran, docteur Bosc et moi- Epernay, janvier 1915, hôpital d'évacuation, service des maxillaires (docteur Caillon) : fracture du maxillaire inférieur 1er degré- Epernay, décembre 1914, l'Institution Notre-Dame : hôpital d'évacuation- Epernay, janvier 1915, hôpital d'évacuation, service des maxillaires : fracture du maxillaire 2e degré- Epernay, décembre 1914, hôpital d'évacuation 39 : Moussa Taraoré (bataillon des tirailleurs sénégalais), mon premier opéré, prêt à se faire panser- Epernay, janvier 1915, le départ de Madigué-Ghei (salle Jeanne d'Arc)- Epernay, janvier 1915, portrait du médecin militaire auteur de l'album photographique- Epernay, janvier 1915 : Curtil, Chamba, Bosc- Epernay, janvier 1915, quartier Margueritte : la fête des arabes, le méchoui- Epernay, janvier 1915, quartier Margueritte : le four en terre du méchoui- Epernay, janvier 1915, quartier Margueritte : le méchoui. A gauche : Destot et Vandenbossche- Ferme de l'Espérance (Champagne), avril 1915 : le canal de la Marne à l'Aisne au niveau de Prunay- Ferme de l'Espérance (Champagne), avril 1915 : nos cagnas creusés dans le talus du canal. Devant ma cagna : Thévenin. Plus loin : l'abbé Gas- Ferme de l'Espérance (Champagne), avril 1915 : ma cagna et mes brancardiers- Prunay (Champagne), avril 1915 : une rue. A droite : l'abbé Gas de la Légion- Prunay (Champagne), avril 1915 : au premier plan les officiers observateurs qui vécurent plusieurs mois dans le clocher, malgré un bombardement repris tous les jours- Prunay (Champagne), avril 1915 : le clocher aperçu à travers d'un trou d'obus- Prunay (Champagne), avril 1915 : l'église bombardée. Au pied du mur, tombes de soldats tués à l'ennemi- Les Marquises, avril 1915 : une tranchée de première ligne (100 m)- Les Marquises, avril 1915 : une sentinelle dans un poste d'écoute (80 m)- Les Marquises, avril 1915 : un poste d'écoute à 80 mètres du Boches- Les Marquises, avril 1915 : silhouettes de légionnaires en première ligne- Les Marquises, avril 1915 : l'heure de la soupe en première ligne- Les Marquises, avril 1915 : après la soupe, les correspondances et les petits travaux- Les Marquises, avril 1915 : le coiffeur dans la tranchée (deuxième ligne)- Louvois (Marne), 22 avril 1915 : cimetière sur une route. Letoubon et Vialle- Louvois (Marne), 22 avril 1915 : au fon le cimetière français. A droite, le cimetière musulman- Ormoy (Somme), 24 avril 1915 : en route pour le Pas-de-Calais, le wagon des médecins auxiliaires. De gauche à droite : Guillet, Dalbéra, Le Toubon, Villetard, Vialle- Le Tirlet (Pas-de-Calais), 24 avril 1915 : groupe devant notre popote. Bordès, Kérambrun, Richard, Dalbéra, Guillet, Bacheret, Villetard de Laguerrie, Thévenin - Ferme de Berthonval (Pas-de-Calais), 2 mai 1915 : le coin du verger. A gauche : Guillet. A droite : sous-officiers de tirailleurs- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 4 mai 1915 : vue du village- Berthonval (Pas-de-Calais), 5 mai 1915 : un coin de la cour. Dans le groupe : Bordès, Hufnagel, Villetard, capitaine Dame- Berthonval (Pas-de-Calais), 5 mai 1915 : la façade, 5 minutes après l'arrivée d'un obus dans le toit- Berthonval (Pas-de-Calais), 5 mai 1915 : un éboulement vient de se produire. Vue prise de mon poste- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : la porte de notre popote et cantonnement- Berthonval (Pas-de-Calais), mai 1915 : à gauche effet du bombardement. Au fond à droite, devant mon poste, Villetard et Hufnagel- Bois des Alleux (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : Berlandi et moi nous faisons expliquer le fonctionnement d'un mortier de 220- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : obusier de 270. Chargement de la pièce au moyen d'un palan. Poids de l'obus : 165 kg- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : la pièce va tirer. Seuls les servants restent. A gauche : le charriot servant au transport de l'obus- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : mortier de 270. La pièce vient de tirer : elle est abaissée- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : mortier de 270. Après le tir : l'écouvillonnage de la pièce- Bois des Alleux (Pas-de-Calais), 6 mai 1915 : mortier de 220. A droite : Guillet et l'abri des artilleurs- Berthonval (Pas-de-Calais), 7 mai 1915 : le coin du verger. Tirailleurs travaillant à notre poste- Berthonval (Pas-de-Calais), 7 mai 1915 : la cour intérieure traversée par une relève de le Légion (vue prise de notre poste)- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 9 mai 1915 : départ des prisonniers capturés 1 heure avant à Neuville-Saint-Vaast- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 9 mai 1915 : arrivée de 2 blessés allemands. A gauche, le menuisier chez lequel nous avions logé avant l'attaque- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 9 mai 1915 : prisonniers allemands capturés à La Targette- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 9 mai 1915 : blessés français et allemands dans la cour de notre cantonnement- Champ de bataille entre Carency et Neuville-Saint-Vaast, 10 mai 1915 : cadavres devant les Ouvrages Blancs. A droite : cadavres d'allemands. A gauche : cadavres enlacés d'un allemand et d'un tirailleur- Berthonval (Pas-de-Calais), 10 mai 1915 : déchargement de blessés. Au dernier plan la route de Béthune- Champ de bataille entre Carency et Neuville-Saint-Vaast, 10 mai 1915 : cadavres de tirailleurs aux Ouvrages Blancs- Berthonval (Pas-de-Calais), 10 mai 1915 : arrivée au poste de secours de blessés allemands- Tincques (Pas-de-Calais), 21 mai 1915 : notre popote et cantonnement. De gauche à droite : Sueur, Bordès, Schousboë, Archimbaud (dit "le Toubib"), Letoublon, Villetard, Bachart, Thévenin- Tincques (Pas-de-Calais), 21 mai 1915 : arrivée de prisonniers capturés la veille à Carency- Mingoval (Pas-de-Calais), 26 mai 1915 : après une nuit sous la guitoune, le petit lever- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 1er juin 1915 : une rue après le bombardement de fin mai- Tincques (Pas-de-Calais), 23 mai 1915 : effet de casquette boche (refaite à un prisonnier)- Mingoval (Pas-de-Calais), 26 mai 1915 : notre cabinet de toilette. Le médecin auxiliaire Marceau- Mingoval (Pas-de-Calais), 27 mai 1915 : retour d'une reconnaissance d'avions- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 1er juin 1915 : trois trous d'obus dans une maison- Mont Saint-Eloi (Pas-de-Calais), 1er juin 1915 : les tours de l'abbaye après le bombardement- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915 : le hangar des blessés. Devant le poste, de gauche à droite : caporaux Corneil, Etchard, Delchet, ..., Thenessie - Sergents Coubrun, Masson - Médecins auxiliaires Caplong et, devant la Coquille (nom de la cagna), Marceau- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915. Un groupe devant la Coquille (ma cagna) : capitaine Teyssier, Marceau, Vialle, Wingest, Coubrun, Manuel, Masson. A droite, l'entrée du boyau Souchez- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915 : ma villa (La Coquille)- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915 : La Coquille. Remarques : à gauche de l'entrée, le buste de Guillaume (coiffé d'un casque) par Teyssier- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 1er juin 1915 : notre salle à manger. Merceron et moi- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 1er juin 1915 : le joyeux Candalot, notre cuisinier- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915 : les chevaux. Creusées dans le talus les cagnas- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915 : la cagna du médecin auxiliaire Caplong. Bernard Caplong est né le 11 novembre 1893 à Urt (Basses-Pyrénées).- Poste des Pylônes (Pas-de-Calais), 2 juin 1915 : tombes des soldats tombés le 9 mai
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