"Dons de mémoire" 2013-34 : archives de la famille Dutrey

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Cote/Cotes extrêmes

134J48 (Cote(s))

Modalités d'entrées

"Dons de mémoire" : collecte d'archives privées sur la Grande Guerre

Présentation du contenu

Monsieur Dutrey a confié aux Archives départementales de la Somme la numérisation d'un ensemble de documents concernant un grand-oncle maternel, Auguste Gaston Diguet.

Monsieur Dutrey ne dispose que de peu d'informations sur son grand-oncle. On sait qu'il habita à Compiègne, rue Puget après la guerre et qu'il était quincailler. Il serait décédé vers 1969-1970. Mobilisé en août 1914, le Maréchal des Logis Auguste Gaston Diguet, 2e Armée, 11e Régiment d'Artillerie à pied, 46e Batterie, 82e Division, a traversé tout le conflit avant d'être démobilisé le 23 mars 1919.

L'intérêt de ces documents est qu'ils consituent un ensemble homogène avec, d'un côté le carnet de route concis et précis d'Auguste Diguet qui couvre toute la période de guerre (du 3 août 1914 au 23 mars 1919). Les écrits sont complétés par un lot de photographies montrant des instants de vie à la "guerre" d'Auguste Diguet, de la Somme au Pas-de-Calais et en Meurthe-et-Moselle.

Forceville (Somme), 15 juin 1915. Cinq prisonniers boches et blessés français au combat d'Hétuberne (Pas-de-Calais)

Cote/Cotes extrêmes

134J48 (Cote(s))

Date

15 juin 1915

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Archives départementales de la Somme

Caractéristiques physiques

Photographie

Particularité physique

Noir et blanc
Papier

Biographie ou Histoire

Mobilisé en août 1914, le Maréchal des Logis Auguste Gaston Diguet, 2e Armée, 11e Régiment d'Artillerie à pied, 46e Batterie, 82e Division, a traversé tout le conflit avant d'être démobilisé le 23 mars 1919.

L'origine d'Auguste Gaston Diguet n'est pas connue. On sait qu'il habita à Compiègne, rue Puget après la guerre et qu'il était quincailler. Il serait décédé vers 1969-1970.

Présentation du contenu

Photographie montrant des soldats allemands prisonniers et français blessés sous le regard des habitants de Forceville. Les blessés portent des bandages au visage. Deux blessés allemands apparaissent très éprouvés par leurs blessures. Un autre soldat est blessé aux pieds.

Langue des unités documentaires

Français