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"Dons de mémoire" : collecte d'archives privées sur la Grande Guerre
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Monsieur et Madame Francqueville ont confié aux Archives départementales de la Somme la numérisation de quelques journaux édités durant la Grande Guerre et conservés précieusement dans la famille.
Bien que n'ayant aucun document personnel à confier, Monsieur et Madame Francqueville ont évoqué leurs ancêtres poilus "Morts pour la France" : Emile Marquet, Georges Francqueville et Emile Maillard.
Emile Victor Maillard, grand-père maternel de M. Francqueville, est né le 21 juillet 1893 à Berteaucourt-les-Dames (Somme). Inscrit au bureau de recrutement d'Abbeville de la classe 1913, il incorpore le 72e Régiment d'Infanterie sous le n° de matricule 898. Mobilisé en août 1914, il est tué au combat le 14 octobre 1916 à Bouchavesnes (Somme).
Emile, Louis, Joseph Marquet, premier époux de la grand-mère maternelle de Madame Francqueville, est né le 27 janvier 1897 à Grouches-Lucheul (Somme). Inscrit au bureau de recrutement d'Abbeville de la classe 1917, il incorpore le 87e Régiment d'Infanterie sous le n° de matricule 1009. Mobilisé en janvier 1916, il décède des suites des blessures reçues sur le champ de bataille de Belloy (Oise) le 11 juin 1918. Sa veuve ne se remaria que bien plus tard, pour ne pas perdre sa pension de veuve.
Georges Marc Louis Joseph Francqueville, Grand-père paternel de M. Francqueville, est né le 25 avril 1884 à Favreuil (Pas-de-Calais). Inscrit au bureau de recrutement d'Arrase de la classe 1904, il est dispensé de service jusqu'en 1906. Il incorpore le 33e Régiment d'Infanterie sous le n° de matricule 212. Rappelé à l'activité, il est mobilisé le 4 août 1914. Blessé au combat (éclats d'obus), il décède des suites de ses blessures le 16 juin 1915 à Louvencourt (Somme).
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Présentation du contenu
-Les distractions des troupiers en campagne : un jeu de quilles improvisé par les artilleurs au camp de Châlons, une glissage près de Dixmude : les petits belges jouent avec nos soldats
-Nos chefs d'armées : le général Sarrail photographié en tournée sur le Front
-L'inventeur du canon de 75 : le colonel Deport. A la manière des chevaliers d'autrefois, guetteur masqué et cuirassé surveillant une tranchée allemande très rapprochée
-Nos chefs d'armées : le général Langle de Cary vient de décorer un drapeau des "marsouins"
-L'invasion de la France ramené de 7,7% à 3,55 % de son territoire. A Cuxhaven, pour la première fois les sous-marins et les navires aériens ont pris par au même combat
-Ceux dont les souffrances continuent bien que la guerres oit terminée pour eux
-Les Hollandais protègent leur frontière, leur armée et prête à repousser une invasion
-Petits faits d'actualité autour de la Guerre : on creuse des tranchées jusqu'en Angleterre, le fauteuil de M. Nortier voilé de crêpes, le Corps des volontaires Tahitiens qui viennent de s'enrôler sous le drapeau français, les vétérinaires de la Croix-Bleue en service, le nouveau paquetage de nos cavaliers
Langue des unités documentaires
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés typologiques
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