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"Dons de mémoire" : collecte d'archives privées sur la Grande Guerre
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En novembre 2012, Germain Zedde a confié aux Archives départementales de la Somme la numérisation de carnets de route de son grand-père le Capitaine Germain Zedde. En 2013, dans le cadre d'une nouvelle collecte, il prête aux Archives de la Somme quelques photographies montrant le Capitaine Zedde, afin de les faire numériser et de les mettre en ligne. En 2020, Germain Zedde a confié un carnet manquant correspondant à l'année 1916 pour être numérisé et ainsi complèter la première série de carnets.
Germain Zedde est né le 7 juin 1885 à Béthune (Pas-de-Calais). Il est professeur des mines jusqu'en 1912. En 1913, il rachète le confiserie de l'oncle de Flavie Delahoche, qu'il a épouse en 1914 à Amiens. "La confiserie centrale" est située rue au Lin à Amiens. Elle s'implante ensuite rue Léon Blum. Germain Zedde y travaille jusqu'en 1967.
Dès la mobilisation en 1914, Germain Zedde commence à écrire son récit de la Guerre jour après jour. Il tient ce journal pratiquement quotidiennement jusqu'au 21 février 1919.
Germain Zedde est cité a de nombreuses reprises pour son courage, sa manière de servir, sa ténacité et son sang-froid. Il est décoré de la Croix de Guerre (deux étoiles, deux palmes, une étoile de Vermeil), de la Médaille de la Victoire et de la Médaille Commémorative de la Grande Guerre. Il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur le 20 juin 1920.
Les états de services de Germain Zedde peuvent être consultés sur son feuillet matricule (1R8210, Bureau de Béthune, classe 1905, n° 646) conservé aux Archives départementales du Pas-de-Calais.
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Ce sixième carnet correspond au récit au jour le jour des évènements vécus par le soldat Germain Zedde durant le début de l'année 1919.
Germain Zedde continue à parler de son travail d'intendance militaire, mais évoque surtout le retour progressif à la vie quotidienne après le terrible épisode de guerre.
Le 5 janvier 1919, il écrit : "... Nous nous levons naturellement assez tard. Nous allons à la messe à la cathédrale. L'après midi, nous allons nous promener avec Madame Arcade sur la route de Longueau. Au retour nous allons offrir nos voeux ghez Gaston et Berthe. Le soir nous ne sortons plus..."
Sa plume se fait moins dense et puis à partir du 22 février 1919, le carnet n'est plus rempli. Il comporte quelques notes relatives à son activité civile.
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